Défi n°94 proposé par Hauteclaire ("Des mots et merveilles") : "Silence on tourne" pour les Croqueurs de mots.
"Silence on tourne".
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Ce film?... Son titre m'échappe...
"Le cerveau" pris dans un "étau", "j'ai la mémoire qui flanche", "la tête en friche".
Côté neurones c'est "le grand silence"...sans doute "les risques du métier", trop longtemps j'ai vécu "de l'autre côté du périph".
Ce titre, tu vas bien finir par le retrouver, "aide-toi le ciel t'aidera", me gourmandais-je.
Puisque nous parlons gourmandises, serait-ce "les saveurs du palais"? Non!
Mais tout à coup "j'ai faim"! "Il reste du jambon"?
"Vilaine", "mauvaise fille"! tu t'égares, me sermonnais-je.
Qui pourrait m'aider? "Les Arnaud"? "Zion et son frère"? "Le petit Nicolas"? "Ces messieurs de la famille"? Essayons d'abord auprès de mon "bel ami".
- "Chéri", pourrais-tu me mettre sur la piste?
- "Sur la piste du Marsupilami"! Houba- houba! veux-tu du "chocolat"?
"Carrément à l'ouest" mon "Alexandre le Bienheureux"! Depuis "le passage à l'heure d'été", son esprit baroque et lui -même se sont reconvertis en "intouchables" farfadets...
Face à mon désarroi, se voulant rassurant, il me tendit "le chocolat" et ajouta,
- "Pleure pas Pénélope"! Tu vas avoir le nez rouge et galvauder tous "les petits mouchoirs" comme le jour où je t'ai annoncé: "Caroline chérie" (je sais, il y avait erreur dans "le prénom"...) je vais te quitter puisque "l'amour dure trois ans" et comme "un bonheur n'arrive jamais seul", je t'annonce que "Camille redouble"...
J'ai dit "merci pour le chocolat", l'ai croqué aux larmes mêlé, me souvenant de cet épisode où j'ai fui "la maison jaune" avec l'intention de passer "ma nuit chez Maud". "Le code a changé" a ricané "le concierge" pervers, sosie de "Belphégor le fantôme du Louvre".
Je me suis retrouvée comme une "potiche" devant chez "Max" et "Emmanuelle" qui m'ont proposé "et si on vivait tous ensemble"? J'ai déguerpi.
Et me suis décidée à mettre en scène "Silence, on tourne".
On est "hors les murs", bien "au delà des collines", dans le vallon "au cul du loup".
"Mademoiselle Chambon" se marie, bien trop jeune pour se mettre "la corde au cou".
On s'interroge: pourquoi "la mariée était en noir"? On suppute: parce qu'elle épouse un "Tanguy"?
On fait dans "la délicatesse", on parle d'"Amour", on va "se souvenir de belles choses", pour gommer la rugosité "de rouille et d'os" et atténuer l'âpreté "des vents contraires".
On s'immisce au coeur d' "une affaire de famille", d'un matriarcat de "huit femmes", "Augustine", "Séraphine"," les femmes du sixième étage", "Thelma, Louise et Chantal". L'une d'elles "s'appelle Sarah" et aime en secret un "Alceste à bicyclette" qui sur sa selle, scelle ses lèvres sur un secret troublant, rythmant ses pédalages fous d'incantations à Eole - je veux "du vent dans mes mollets", je veux du vent dans mes mollets...jusqu'à générer la tempête.
On plonge dans de mystérieux abysses.
Pourquoi "Manon des sources" boude-t-elle "la fille du puisatier"?
Pourquoi "la journée de la jupe" boycotte-t-elle "images de femmes ou le corset social"? ?
Pourquoi "la mouette" fiente-t-elle sur les " fauteuils d'orchestre"?
Pourquoi "Habemus papam" redoute-t-il l'ange de "la BM du Seigneur"?
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"Au cas où je n'aurais pas la palme d'or", je m'y serai au moins essayée.