HOMMAGE À HENRI ( Henri de Margaux, l'un des nôtres en Croqueurs de Mots, disparu fin mai )

Publié le par François & Marie

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Un soir de printemps, à deux pas de l'été,

Henri croqueur d'alexandrins s'en est allé

rejoindre le clan des poètes disparus.

Départ soudain qui nous a vivement émus.

Pour tous ces bons moments d'échanges entre amis,

pour ces partages, merci et adieu Henri...

- Ah , on dirait un gros bateau dans les nuages ...

- Ça doit être un monsieur qui part pour un  voyage  !

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M
Bel hommage émouvant par sa simplicité. Bon week-end.
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J
Tres émouvant cet hommage pour Henri en mots et en image .<br /> Merci à vous deux <br /> Bisous
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C
Oh ! Bravo à vous deux ! Quel bel hommage et, cette finale !!! Bonne soirée ! Amitiés♥
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Merci beaucoup pour votre visite Colette, bonne journée à vous.
Q
Magnifique hommage à notre compagnon de voyage...<br /> Merci à vous deux.<br /> <br /> Passez une douce journée.
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Q
Toujours... mais il y a ceux qui savent nous émouvoir en parlant de ceux qui partent, et vous êtes parmi eux.<br /> Merci encore pour tout.
Merci Quichottine, c'est toujours bien émouvant un départ sans retour. Amitiés de nous deux.
J
J'en ai les larmes aux yeux. Quel bel hommage et quel beau bateau pour emmener notre croqueurs d'alexandrins !
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Merci Jeanne, le bateau nous dit que le croqueur d'alexandrin est parti vers un autre pays .
C
Il va rejoindre le cercle des poètes de l'autre côté du rivage. Il nous manquera. Chloé
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merci pour votre amicale visite Chloé.
A
Un voyageur sans bagage.<br /> Couché sur son petit nuage...
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quand on musarde en regardant les cumulus en juin , on appelle ça : " prendre l'été avec un nuage délais" .<br />
L
Bonjour les Cabardouche, sobres alexandrins qui lui conviennent bien et un fabuleux dessin, merci beaucoup Marie et François. Bises amicales.
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Merci beaucoup Lénaïg, bises amicales de nous deux.
J
Très émouvants ces mots et le superbe dessin ce bateau-nuage qui s'estompe me fait penser au poème de William Blake "Le voilier" Le voilier<br /> <br /> Je suis debout au bord de la plage. <br /> Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan. <br /> Il est la beauté, il est la vie. <br /> <br /> Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon. <br /> Quelqu'un à mon coté dit : "Il est parti ! " <br /> <br /> Parti ? Vers où ? <br /> Parti de mon regard, c'est tout ! <br /> <br /> Son mât est toujours aussi haut, <br /> Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. <br /> Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui. <br /> <br /> Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti ! " <br /> <br /> Il y en d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux, s'exclament avec joie : "Le voilà ! " <br /> <br /> C'est ça la mort. <br /> <br /> Il n’y a pas de morts<br /> <br /> Il y a des vivants sur les deux rives<br /> <br /> William Blake 1757 - 1827
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Superbe, merci pour ce partage, les p'tiots gamins ont bien vu, depuis leur arbre de vie, la magie du grand voilier.
J
Bonjour Marie et François... un départ si inattendu qui nous a laissé bouche bée à son annonce par sa famille... hélas ! Un vieux monsieur sur la route du paradis, eh oui... merci à vous deux aussi, bises amicales, jill
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Merci pour votre visite amicale. C'est vrai qu'on se sent tout chose d'apprendre le départ d'un membre de la communauté . bises de nous .